Poésie, Poésie
Tu es la Libération de mon Âme
A toi, je me confie
Afin de fuir ce Monde sans trame
Un préambule, un tercet où l’auteur revêt son habit de poète, confie l’image que lui renvoie la poésie.
Il tourne ensuite son regard vers la nature, célèbre la nuit et le jour, la lune, le temps, l’eau, le vent, le feu, la nature dans sa globalité.
Nuit de jour ?
Clarté noire ?
Blancheur sombre ?
A quoi ressembles-tu ?
Le temps est fluide ;
Il passe quand vous avez besoin de lui.
Le temps est éternel ;
Il marque le pas quand vous désirez sa fuite.
La nature exaltée, interrogée, le poète évoques ses pertes, ses lueurs d’espoir, ses flots de douleur, ses amours déçus.
Que tu sois l’Or
Ou Laure
Pour moi c’est la même réalité ;
La même préciosité ;
La même valeur ;
La même importance
L’Or, tu es une matière précieuse
Laure, tu es une personne rêvée.
Dans la nuit froide du deuil , assis sur un arbre abattu,
Seul, dans cette grandissante obscurité,
Je revis ces moments précis et heureux
Avec celui que je pleure, ensemble, passés
Et que toujours je pleurerai
Maman, tu t’en vas ?
Et l’Arbre que tu as planté.
Tu ne goûtes pas
A ses fruits juteux ?
Mes propres pas me trahissent.
Je regarde en arrière croyant te voir arriver.
Mais en vain.
La porte claque
Je crois que c’est toi qui l’ouvres.
Mais tu n’es pas là.
Les réminiscences du passé frustrent tout être.
Voir en soi ce qu’on n’est pas est négation d’être.
UNITE
De races
De couleurs,
Tous le souhaitent.
Comment ?
Avec des mots ?
Par des gestes ?
Les strophes de ce recueil sont très simples. Leur forme varie, leur intensité également. Les poèmes ne sont ni révolutionnaires, ni époustouflants mais leur douceur nous pousse à aller jusqu’au bout du recueil. Très peu de poèmes ont remué mon âme mais j’ai pris plaisir à aller à la rencontre de ces nombreux vers qui courent sur 80 pages.
La lecture de ces poèmes détend alors si vous trouvez le recueil quelque part et que vous avez envie de penser à quelque chose sans y penser vraiment, lisez le. 🙂