Un assassin, qui se fait appeler le Prince, exécute des mères de famille sous les yeux horrifiés de leurs jeunes fils âgés de 7 ans. Opérant à l’arme blanche avec une rare sauvagerie, le meurtrier taille ses victimes en lanières. Telle est la punition qu’il inflige. Mais qui punit-il ? Et de quoi ?
Pour répondre à ces deux questions fondamentales, le commandant Falier s’adjoint les services du professeur Bareuil, spécialiste des crimes rituels, « retraité » de la Sorbonne, et de Jeanne Lumet, qui fut sa plus brillante élève. Or la jeune femme est mère d’un petit garçon de 7 ans. Détail qui n’échappera sans doute pas au Prince…
Tout a commencé par …
une envie de lire romans policiers et thrillers qui ne sont pas des pavés. J’ai fouillé sur Livraddict et les retours majoritairement positifs sur cette œuvre ont entraîné ma lecture.
Je rame à contre-courant parce que je n’ai pas passé un bon moment de lecture avec ce roman.
Dès les premières pages, j’ai eu du mal avec le style d’écriture: des tournures de phrase trop grandiloquentes, d’autres plus maladroites.
L’intrigue n’a pas eu longtemps mon intérêt. J’ai décroché à certains moments. J’aime bien les histoires princières mais celle de notre assassin ne m’a pas captivée.
Parlons des personnages. J’ai eu une empathie éphémère pour Jeanne Lumet; aucun flic n’a réussi à me donner l’envie de m’attacher à lui. Je suis restée indifférente au profil de l’assassin. La relation de Jeanne avec le professeur Bareuil m’a mise mal à l’aise. Franchement, un mec qui essaie de forcer un baiser, tente de me peloter, je ne le revois plus jamais de ma vie.
Quant au dénouement final, je l’ai trouvé très théâtral. Je crois que je n’étais définitivement pas la cible de cet auteur.