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Top Ten Tuesday 11 : 10 emplois pour les fans de littérature

Happy New Month ! En mai, faites ce qui vous plaît vraiment !

Je ne pensais pas intervenir sur le blog aujourd’hui mais le thème du Top Ten Tuesday de cette semaine est trop alléchant :

Les 10 meilleurs emplois pour les fans de littérature

Un thème parfait pour ce 1er mai, fête du travail, n’est-ce pas ? 

L’idéal quand on est fan de littérature, quand on adore le livre est de travailler parmi les livres, avec les livres. J’aimerais être très bien payée pour ce que j’aime faire : lire. Les métiers du livre sont nombreux mais les meilleurs pour moi sont par ordre de préférence :

 

1_ Animatrice d’une émission littéraire

Mettre en avant un livre, interroger son auteur sur un plateau télé, discuter avec d’autres lecteurs. En Côte d’Ivoire, il existe l’émission Entre les lignes. Je rêve de pouvoir en créer une un jour. 

 

2_ Agent littéraire

J’aimerais représenter les écrivains et leurs œuvres écrites pour les éditeurs, producteurs de films, les assister dans la vente et participer aux négociations et avoir un pourcentage du produit des ventes. Elle n’est pas belle, la vie ? 😀

 

3_ Libraire

Transmettre son goût des livres, orienter, conseiller, recommander. Vivre avec les livres, les respirer régulièrement. Recevoir les nouveautés, se tenir au courant de l’actualité littéraire pour répondre à la demande de ses clients.

 

 

4_ Bibliothécaire

Même rôle que le libraire.

 

5_ Entrepreneur culturel

Lancer une start-up dédiée aux box littéraires pour les petits et les grands, les petits et grands budgets de lecture. Recommander des livres en suivant les goûts de lecture, ravir les lecteurs avec des petites surprises. J’ai sauté le pas l’an dernier avec ma box littéraire Aïkan.

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Marque-page Aïkan thème gourmandise

L’image contient peut-être : texte

Je ne suis pas encore dédiée à cette activité à plein temps. Je suis en train de repenser mon business model pour atteindre le niveau de la Kube. 😀 Ce n’est pas évident en Côte d’Ivoire mais je vais y arriver.

 

6_ Community Manager d’une grande maison d’édition

Fédérer une communauté, créer des tags sympas, recevoir les nouveautés de la maison d’édition, défendre les auteurs, lire, lire, lire !

 

7_ Chargée de promotion

Organiser les séances de dédicaces dans les librairiesmettre en lien les auteurs avec des écoles pour des rencontres scolaires. Je dis oui !

 

8_ Attachée de presse

J’aimerais bien m’occuper de tout le relationnel avec les journalistes. Envoyer des communiqués de presse et des livres et faire le nécessaire pour à avoir un article, une vidéo ou une interview sur l’ouvrage et/ou son auteur.

 

9_ Responsable éditorial

Suivre de près toute la chaîne du processus éditorial, voir le livre prendre forme, petit à petit aux côtés de l’auteur. Participer aux choix des illustrations, aux prises de décision.

 

10_Critique littéraire

Je ne suis qu’une chroniqueuse. Un jour, j’aimerais bien avoir l’étoffe et la reconnaissance d’un critique littéraire. 😀

 

Rêvez-vous comme moi de faire l’un des 10 métiers cités ?

Bon repos aux travailleurs et que cette année marque la fin du chômage pour ceux qui sont en quête de travail. Pour être passé par là, je sais combien c’est difficile. Courage !

 

fleur v1

 

 

 

 

 

 

 

 

Publié dans Arrêt sur une oeuvre

Du chocolat amer servi par Laura Esquivel

Excellent mois de février à tous, je vous souhaite de belles découvertes littéraires.

Mon challenge « littérature sud-américaine » continue. Je reviens au Mexique avec Laura Esquivel.

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Dans le Mexique du début du siècle, en pleine tempête révolutionnaire, Tita, éperdument éprise de Pedro, brave les interdits pour vivre une impossible passion. À cette intrigue empruntée à la littérature sentimentale, Laura Esquivel mêle des recettes de cuisine. Car Tita possède d’étranges talents culinaires : ses cailles aux pétales de roses ont un effet aphrodisiaque, ses gâteaux un pouvoir destructeur. L’amour de la vie est exalté dans ces pages d’un style joyeux et tendre, dont le réalisme magique renvoie aux grandes œuvres de la littérature latino-américaine. Chocolat amer, adapté en film sous le titre Les épices de la passion, s’est vendu à plus de quatre millions d’exemplaires dans le monde.

 

l'Afrique écrit

12 recettes gourmandes à souhait pour chaque mois de l’année. J’ai été au début un peu déboussolée, ayant eu l’impression que l’histoire ne se déroulait que sur une année.

Tita, notre héroïne, est une experte en cuisine. Qu’est-ce qu’elle m’a fait saliver avec ses différents plats comme le « mole » de dindon aux amandes et au sésame, son bouillon de queue de bœuf et ses gâteaux ! Quelques-unes de ses recettes ont d’ailleurs un côté aphrodisiaque. J’ai ri de cet effet sur les personnes qui dégustaient ses repas.

Chaque recette introduit un morceau de l’histoire de Tita. Benjamine d’une fratrie féminine, elle se voit attribuer de force un rôle par sa mère autoritaire : s’occuper de cette dernière jusqu’à sa mort. C’est un métier à plein temps, une fonction exclusive. Tita ne pourra donc jamais se marier. Elle doit se consacrer à sa mère. Quelle tradition familiale aberrante !

Comme Tita, on s’insurge contre cette mère égoïste. Comme Tita, on finit par capituler. On plaint cette jeune fille qui ne pourra pas vivre son amour. On partage la soupe de sa colère, sa tristesse. Mélange amer !

Quel supplice de voir chaque jour l’amour de sa vie et ne pas pouvoir le toucher ! On espère voir défaire cette stupide coutume mais elle a été gravée dans le roc.

 

Observant longuement les formes délicates de la figurine, Tita songeait combien il était aisé de désirer des choses durant l’enfance. Rien n’est impossible alors. Quand on grandit, on comprend qu’on ne peut pas avoir envie de tout, que certains désirs sont interdits, coupables. Indécents. 

 

On aurait aimé que Tita naisse d’une autre mère. Mamá Elena n’a pas l’air d’aimer sa fille. Intransigeante, elle ne lui montre aucun signe d’affection.

Tita noie sa solitude dans la cuisine. Cuisiner devient un moyen d’expression d’amour entre son bien-aimé et elle. Il met dans les compliments qu’il lui adresse tout l’amour qu’il ressent pour elle. Tita s’acharne à cuisiner encore mieux, invente de nouvelles recettes afin de bénéficier davantage de ses marques d’amour.

On se remet à sourire lorsqu’apparaît le médecin John Brown. Il aide Tita à tenir tête à sa mère. C’est un homme en or. J’ai eu un coup de cœur pour ce personnage. J’ai apprécié sa gentillesse, sa loyauté, son amour pur envers Tita. Je pensais qu’ils vieilliraient ensemble mais l’auteure a déjoué mes plans.

J’ai apprécié les retournements de situation, la plume poétique de l’auteure, ses touches d’humour et manifestations paranormales, ses astuces de grand-mère et analogies de la cuisine et l’amour. 

Elle tourna la tête et ses yeux croisèrent ceux de Pedro. Elle comprit parfaitement à cet instant ce que devait ressentir la pâte d’un beignet au contact de l’huile bouillante.

 

Tita sut dans sa propre chair pourquoi le contact avec le feu altère les éléments, pourquoi une poitrine qui n’est pas passée par le feu de l’amour est une poitrine inerte, une boule de pâte sans utilité.

 

Ses flashforward m’ont par contre un peu perdue. 

Chocolat amer c’est la lutte d’une femme pour faire cesser une tradition qui n’a aucun sens et vivre la vie qu’elle a choisie. C’est une tendre élégie qui exalte l’amour frustré, déçu et interdit. Il évoque les relations mère-fille parfois compliquées, les rivalités fraternelles.

C’est un roman à mettre dans les mains des passionnées d’amour et de cuisine.

 

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Publié dans Psyché

Charitis allume une bougie contre le cancer pédiatrique

Mes chers amis, comme je vous l’annonçais dans le 1er je balance tout, je suis membre d’une organisation caritative : Charitis.

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L’ONG intervient dans l’humanitaire, le développement humain, la formation et la lutte contre la pauvreté. Elle a pour objet de :

– Unir par des liens de solidarité et d’amitié des hommes et des femmes sans distinction de religion, de sexe, de race, de couleur en communiquant des valeurs d’amour, de bien être, de joie et de partage 
– Favoriser le développement des relations et de la compréhension internationale en proposant et entretenant un idéal de paix, de bonne volonté et d’amitié entre les hommes et entre les peuples.
– Donner l’occasion de servir en toutes circonstances, l’intérêt général
– Participer activement à la recherche des moyens et actions tendant à réduire les misères humaines, améliorer les relations entre les hommes
– Assister les veuves et les orphelins, soutenir les enfants de la rue, les victimes de guerre et les personnes souffrant d’un handicap
– Assister médicalement et financièrement toutes les couches sociales démunies
– Venir en aide aux personnes démunies et aux enfants défavorisés et déscolarisés
– S’investir durablement pour l’alphabétisation
– Contribuer à l’amélioration du cadre de vie (multisectoriels) et de l’environnement
– Veiller au respect des droits des citoyens et même des prisonniers
– Former une génération de leaders

Pour notre première action sociale de 2017, nous avons décidé d’apporter un souffle de joie à des enfants atteints de cancer. Nous avons mobilisé nos ressources pour offrir un Noël joyeux à des enfants qui luttent pour rester en vie.

 

Le 23 décembre dernier, nous avons organisé un arbre de noël en partenariat avec les ONG L’éléphant Bleu et Soleterre.

En Côte d’Ivoire, plus de 42% des enfants malades de cancer meurent, faute de dépistage précoce, et surtout du coût de la prise en charge. « L’Éléphant Bleu » s’est donné pour mission d’aider à la lutte contre le cancer pédiatrique.

« Soleterre », association italienne qui a une représentation à Abidjan intervient dans l’immigration, les droits de l’homme, l’éducation et la santé. Dans le cadre d’un grand programme international d’oncologie pédiatrique, ils forment les médecins au diagnostic précoce du cancer en collaboration avec le ministère de la santé, mènent des activités de sensibilisation, apportent un soutien psychologique, financier, matériel et social aux familles des enfants malades en liaison avec l’unité d’oncologie du CHU de Treichville.

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Lors de son mot d’allocution, le premier responsable de Charitis a signifié le désir de l’association de s’engager sur le long terme dans l’accompagnement de ses enfants et leurs familles. Il leur a rappelé qu’ils n’étaient pas seuls.

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Les enfants présents ont dansé et chanté pour ceux qui le pouvaient.

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Charitis a offert plus d’une quarantaine de cadeaux aux enfants et ils les ont reçus avec beaucoup de joie. Nous étions heureux d’allumer la bougie de la joie sur leur sentier de vie assez éprouvant. 

Je revois encore ce garçon tout excité qui n’a pas attendu la fin de la cérémonie pour déballer son cadeau. Il était tout content d’avoir reçu un Monopoly. 

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Certains enfants pour lesquels nous avions prévu des cadeaux étaient hospitalisés. Nous avons eu la tristesse d’apprendre que l’un des enfants ne recevra jamais le cadeau emballé avec soin. Il a rejoint le Ciel…

 

Durant toute la cérémonie, j’ai essayé de ne pas exposer ma tristesse à ces enfants dont le cancer s’amuse à grignoter des organes essentiels. Essentiels pour découvrir le monde qui les entoure et vivre comme des enfants de leur âge. 

« Pourquoi souffrent-ils autant » n’est plus la question que je me pose mais plutôt « que puis-je faire pour eux ». Je pense que cette question doit animer chaque être humain. 

Les femmes du REFACI (Réseau des Femmes Artisanes de Côte d’Ivoire) ont aussi répondu à cette question en apportant des dons en nature à la maison akwaba, maison hôte qui accueille des familles d’enfants cancéreux. Sa capacité d’accueil est de 7 familles (un parent et un enfant).

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Ces femmes ont apporté leur joie de vivre et ont fait de jolis maquillages aux enfants. 

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Un déjeuner avec les enfants a été la dernière note jouée dans notre mélodie du bonheur. 

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Nous avons emporté leurs sourires avec nous.

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L’image contient peut-être : 1 personne, assis

Nous croyons que cette chaîne d’amour, de soutien, d’aide ne se brisera pas.

Nous croyons que la bougie allumée ce samedi 23 décembre ne s’éteindra pas.

 

Nul n’a le droit d’être heureux tout seul disait Raoul Follereau.

 

Si vous voulez rejoindre l’ONG Charitis et/ou contribuer à nos différentes actions ou en savoir un peu plus sur l’ONG, ci-après les différents moyens de contact :

Page Facebook : ICI

E-mail : ong.charitis@gmail.com

Twitter : ICI

Youtube : ICI

 

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Publié dans Arrêt sur une oeuvre

Et puis un jour, sélection romance Prix des Auteurs Inconnus

Roman concourant au Prix des Auteurs Inconnus 2017 dans la catégorie romance

Sarah a trente ans et a oublié d’exister par elle-même. Plongée dans ses obligations, elle survit au lieu de vivre…
Gino enchaîne les conquêtes, ne touche plus aux sentiments. Il s’est forgé une carapace d’homme à femmes. Il a choisi de vivre à moitié plutôt que de tout donner…
Jamais ils n’auraient dû se croiser…
Et puis un jour…

l'Afrique écrit

Ce roman d’amour est arrivé en numéro 2 dans ma présélection. J’ai apprécié la poésie qui se dégageait du récit, le goût d’interdit lié à la relation entre Sarah et Gino. J’ai pressenti beaucoup de passion, j’ai pensé qu’ils allaient s’aimer puis se désaimer. L’auteure a faussé mes plans. 

Sarah a une vie morose c’est le cas de le dire. Elle est épouse, mère mais pas femme. Son couple est devenu une habitude, son mari le pense aussi mais aucun n’engage le sujet. Les couples aujourd’hui ne perdent pas le sens de l’amour, ils perdent le sens de la communication. Chacun attend que l’autre change, évolue, redevienne ce qu’il était mais n’ose pas le dire ouvertement. Comme si un couple s’améliorait par télépathie. 

Avec Gino, Sarah ose afficher ce qu’elle est véritablement : une femme passionnée qui désire vivre intensément son présent. Elle découvre l’amour à l’italienne, l’amour sensationnel, gestuel. On est attendri par leurs gestes d’affection, leur passion, leur envie de goûter à l’instant interdit. Oui, l’Homme est fasciné par l’interdit.

Gino et Sarah vivent hors du temps conventionnel. Ils se considèrent comme des âmes jumelles. En quatre jours, ils vont s’aimer avec passion. Je me suis interrogé : était-ce vraiment de l’amour ? N’est-ce pas le goût de l’interdit mu en passion frénétique ?

Rattrapés par la réalité, ils vont devoir renoncer physiquement mais ces âmes jumelles restent liées. On se demande ce que deviendra cet amour dans X années.

Sarah et Gino ne sont pas les seuls à parler de la routine, l’amour inachevé, du bonheur qu’on n’attendait pas, qui se présente à nous et qu’on a peur de perdre. Jean-François, Adeline, respectivement collègue de Sarah et amie de Gino prennent la parole pour conter brièvement leurs expériences. 

L’écriture de l’auteure est soignée même si quelques fautes d’orthographe et de conjugaison viennent tâcher sa perfection. Fort heureusement, il n’y en a pas à profusion.

J’ai également apprécié ses phrases percutantes. 

Il y a ceux qui aiment un jour sur deux, ceux qui aiment l’idée d’aimer et même d’être aimé, il y a ceux qui aiment par habitude, ceux qui ne savent pas aimer, ceux qui qui ne savent pas être aimé. Et puis il y a ceux qui y croient toujours, malgré la déception, l’échec et l’abandon. Ce sont ceux-là les pires  car ils peuvent tout donner et reprendre.  Ce sont ceux -là qu’il faut craindre car tu sais qu’en les laissant entrer dans ta vie, ils vont tout chambouler, te faire sentir exister, et puis un jour ils partiront sans se retourner. Ce sont ceux qui s’esquintent, tombent, se relèvent et retombent encore, c’est le cercle vicieux, celui qui te noue le ventre, te cloue au sol.

Qu’est -ce que le bonheur d’une personne face à celui de plusieurs ?

Les scènes de sexe sont décrites avec grâce, les mots se mettent au service des sentiments  et non à celui des pulsions charnelles. 

J’ai apprécié cette brève lecture d’une centaine de pages. Si vous trouvez ce roman quelque part, allez à sa rencontre. Vous tomberez peut-être amoureux (se) de Gino, qui sait ? 

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  • Format PDF
  • 113 pages
  • Édition : 11 octobre 2016
  • Broché: 208 pages
  • Édition : 1 décembre 2016

Existe en format numérique et broché 

Lien d’achat : ICI

 

Etes-vous fan des amours impossibles ? Aimez vous l’interdit ?

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Publié dans Arrêt sur une oeuvre

Vaudace Tome 2 : un conte de fée révolutionnaire

Alors que tout semblait enfin bien parti entre Mugusi et elle, Éloïse tombe sur une photo qui remet tout en question, une photo surgie du passé de Mugusi qui semble lié au sien. Quelle est la vraie raison de la présence de ce dernier à Libreville, pourquoi possède-t-il une photo de sa mère dans ses affaires ? Qui est l’homme à côté duquel pose cette dernière et surtout : comment cela va-t-il affecter leur relation naissante ? Le mutisme buté dans lequel Mugusi se retranche achève de briser la fragile confiance qui s’était établie entre eux après Tokyo, et sonne le glas de leur histoire.

De Libreville à Lagos, laissez-vous embarquer dans le dernier volet d’une saga mythique, où la quête d’ambition se confond à celle de l’amour, où la passion de la mode, du succès et l’audace nous entraînent au-delà de nous-mêmes, à la rencontre d’un nous qui nous pousse à puiser dans des réserves dont nous ne soupçonnions pas même l’existence.

 

l'Afrique écrit

 

Je remercie l’équipe de communication de l’auteure pour ce service presse. J’ai d’ailleurs été agréablement surprise que ma remarque sur la couverture du TOME 1 ait été prise en compte.  Pour en savoir plus cliquez ici

Nous sommes toujours dans l’univers impitoyable de la mode. Je salue d’ailleurs le travail de recherche de l’auteure pour décrire fidèlement cet univers.

Le ⅘ de l’histoire se déroule à Libreville. Pas question d’essayer de découvrir l’animation de la capitale gabonaise ou de contempler la nature, c’est un roman psychologique alors l’auteure est centrée sur la description de l’état intérieur de ses personnages. Cependant, on a un petit aperçu de la vie à Lagos, ville où l’histoire est transposée dans le ⅕ du récit.

Eloïse, la rebelle n’a pas changé. Sa franchise, son ambition, son courage, son envie de concrétiser ses rêves sont restés intacts. Idem pour l’amour qu’elle porte à Mugusi. A ses côtés, elle perfectionne son talent, fait grandir sa passion pour les beaux vêtements.

 

Mugusi également n’a pas changé. Il aime Eloïse à sa façon. Il est toujours aussi froid, asocial, mystérieux et obsédé par son succès.

Leur relation, elle, évolue et nos amoureux deviennent des concurrents. J’avoue que j’ai apprécié les voir s’accrocher, se détester. 

Leur rivalité est de courte durée, ce qu’ils ressentent l’un pour l’autre est trop fort mais …. les zones d’ombre de Mugusi mettent à mal leur relation.

Cet homme fort a une grande faiblesse, une faiblesse qui émeut.

Cette faiblesse parce qu’elle est difficile à contrôler effraie. Eloïse, elle, n’a pas peur de l’affronter. J’ai admiré son courage. L’amour donne les ailes pour survoler le gouffre de la peur.

Vaudace est un conte de fée révolutionnaire. Ici, c’est la femme forte qui accourt sur son cheval blanc pour sauver son prince ! Son amour donne un nouveau souffle à sa relation avec Mugusi. Ils deviennent partenaires en affaires, partenaires en amour…

J’ai fermé ce livre avec cette pensée en tête : l’amour n’est qu’une question d’abandon….

Ce tome 2 est un roman de qualité même si des coquilles viennent gâcher sa clarté. Les personnages sont aboutis, les thèmes abordés sont travaillés, l’auteure ne survole ni les questions psychiatriques, ni celles liées au féminisme.

On sent bien que l’auteure veut encourager les femmes à être des working girl, des femmes indépendantes qui réussissent par elles-mêmes et les inciter à plus d’entraide entre elles.

Elle inspire l’audace aux entrepreneurs. A travers Eloïse, c’est le parcours semé d’embûches de l’entrepreneur lambda qu’elle dresse : les challenges, les peurs, les doutes, les réorientations, la volonté d’y arriver.

Et vous ne vouliez rien demander à personne c’est ça ?

Non. Je voulais épuiser mes propres ressources avant d’appeler à l’aide. Il faut d’abord essayer très fort soi-même, puis si on n’y arrive pas, appeler au secours.

Respire et dis-toi juste : j’avance car ce qui pourrait m’arriver de pire ce serait de baisser les bras.

Le succès dépend des autres. L’accomplissement personnel ne dépend que de nous-mêmes. Et je préfère ne dépendre que de moi-même. Je sais que vous aussi. Alors réfléchissez-y. Si c’est après le succès que vous courrez, vous le ferez toute votre vie.

Je recommande ce livre à ceux qui sont fans de romans psychologiques, de développement personnel, de romance moderne.

Il aurait été mon 1er coup de cœur de l’année si certains points de vue d’Eloïse ne m’avaient pas irritée. Ceux qui me connaissent sauront de quoi je parle. 😉

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BON A SAVOIR  : Des petits clins d’oeil sont faits à des  personnages d’autres histoires de l’auteure : Elle et Adrien, Alexander et Leila, Gabriel, Denis, Lola. Pour en savoir plus sur ces personnages, vous n’aurez qu’à lire leurs histoires sur la page Facebook de l’auteure.

Lien d’achat : ICI

Nombre de pages  : 352

Site internet : www.leilamarmelade.com

Page Facebook : Leila Marmelade

Instagram : @leilamarmelade

Muswada : Leila Marmelade

Twitter : @LeilaMarmelade

 

 

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Lola et les lettres de Rose

Coucou les amis ! Quel plaisir de vous retrouver ! 🙂

Toujours à la recherche de prix littéraires à lire, je suis tombée par hasard sur le Prix du Livre Romantique des éditions Charleston.

J’ai découvert qu’un roman que j’avais vu sur l’un des blogs que je suis avait été lauréat de ce prix. Il s’agit des Lettres de Rose de Clarisse Sabard.  

Vu qu’il y a un prequel à ce roman et qu’il est très court, j’ai commencé par celui-ci.

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Marianne et Thierry se rencontrent sur une plage à Nice, dans les années 70. C’est le coup de foudre. Très vite ils se marient et tentent d’avoir un enfant. Mais le sort en a décidé autrement. Jusqu’à ce qu’un coup de téléphone change à jamais leur vie…

En 30 pages, Marianne nous décrit brièvement son enfance, sa rencontre avec Thierry, l’homme de sa vie, son infertilité, le coup de téléphone qui va changer leur vie de couple et leur première rencontre avec Lola, la petite fille qu’ils ont adopté. L’écriture est assez fluide, on a envie de savoir si la venue de Lola va impacter positivement leur vie. 

 

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Lola a été adoptée à l’âge de trois mois. De nos jours, à presque 30 ans, elle travaille dans le salon de thé de ses parents, en attendant de trouver enfin le métier de ses rêves : libraire. Mais sa vie va basculer lorsqu’elle apprend que sa grand-mère biologique, qui vient de décéder, lui a légué un étrange testament : une maison et son histoire dans le petit village d’Aubéry, à travers des lettres lui apprenant ses origines. Elle découvre ainsi la vie de son arriere grand-mère Louise, de sa grand mère Rose et de sa mère Nadège, ainsi que les dérangeantes circonstances de sa naissance. Mais tous les habitants ne voient pas d’un bon œil cette étrangère, notamment Vincent, son cousin. Et il y a également le beau Jim, qui éveille en elle plus de sentiments qu’elle ne le voudrait. Réveiller les secrets du passé lui permettra-t-elle d’avancer vers son avenir ?

 

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Lola mène une vie normale comme le commun des mortels. Son meilleur ami Tristan est homosexuel et ce cliché m’a exaspérée. Un homme et une femme tous les deux hétéro ne peuvent-ils pas être meilleurs amis ? Faut-il forcément pour qu’une relation amicale homme-femme tienne que l’un d’entre eux soit homosexuel ?

 

Son passé accourt vers elle lorsqu’elle reçoit un coup de fil de notaire. J’ai bien aimé le parcours que lui a tracé Rose pour reconstituer son passé.

Rose m’a embarquée dans sa saga familiale des années 1900 aux années 2000 où amour passionnel, mariage de convenance, petits et grands mensonges, secrets et drames se mêlent.

Les Lettres de Rose est comme une salle d’exposition où figurent différents portraits de femmes. J’ai beaucoup aimé la diversité de leurs personnalités : bonne sœur, femme masculine, femme romantique, femme ambitieuse, femme se reposant sur son homme…

J’ai pris plaisir à découvrir Louise, cette femme au caractère bien trempé qui a réussi à faire de sa vie ce qu’elle voulait, décidé bon nombre de fois de la tournure de la vie des autres. Je l’ai admirée, détestée également pour les amours avortés dont elle en est la cause.

J’ai plus été passionnée par l’histoire de Rose que par celle de Lola. J’étais d’ailleurs un peu déçue à chaque fois qu’on revenait au présent qui est l’histoire de Lola.

Jim n’aura pas l’immense honneur de faire partie de mes bookboyfriend. Le fait qu’il ressemble à Clovis Cornillac ne l’aide pas beaucoup.

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Les Lettres de Rose aborde l’effet domino de nos choix souvent égoïstes. Elle expose jusqu’où on est souvent prêt à aller pour satisfaire son ambition, assurer son ascension sociale, ce qu’on est prêt à accepter par amour ou pour sauver les apparences. 

J’ai découvert et trouvé intéressante la plume de Clarisse Sabard. Elle est légère, sans fioritures. Son premier roman est bon, pas extra. Je m’attendais à quelque chose de plus sensationnel, émouvant  après lecture des différents avis sur les réseaux sociaux… 

 

Et vous, que lisez-vous en ce moment ?

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Publié dans Panaché

Le 4e award de ma vie de blogueuse

Deuxième nomination au Liebster Award par Chris Poete Officiel et ma belle Coeur d’encre.

Celle de Chris date de plus d’un an. Je suis désolée mon cher ami. Je n’avais pas vu l’article passer ! 😦

J’aime bien faire des tours sur leurs blogs. Chez Chris, je suis l’actualité et Chez Cœur d’encre, je retrouve toujours une cuillère à soupe de folie et de bonne humeur. Merci pour ce que vous faites, les amis. 

 

Pour ceux qui l’ignorent, le but du Liebster Award est de raconter 11 choses sur soi, répondre aux 11 questions du blogueur qui vous a nominé, et poser à son tour 11 questions à 11 autres blogueurs.

J’ai déjà raconté plein de choses sur moi aux Dragon’s Loyalty Award, le  BOOK FANGIRLING AWARD, et mon 1er Liebster Award. Je ne vais donc répondre qu’aux questions.  

questions liebster awards

…. de Cœur d’encre

 

Est-ce que tu collectionnes quelque chose à part les livres (les marques-pages, les billes, les crânes de tes ennemis) ?

Les photos numériques, ça compte ? (rires)

 

Y a-t-il un poète qui te plaise en particulier, ou une citation ?

ALFRED DE MUSSET ! Il a été une grande source d’inspiration pour moi.

Il y a une citation de Bernard B. Dadié que je garde précieusement dans un coin de ma tête :

 

L’image contient peut-être : texte

 

Quel est ton dernier rêve ?

Euh… si j’avais répondu juste au réveil, j’aurais pu répondre avec exactitude. Je me souviens juste que j’avais porté une robe bleue, des espadrilles de la même couleur et je cherchais un gilet de la même couleur également. Je devais accompagner l’une de mes sœurs mais je ne sais plus où.

 

Quels sont les trois livres que tu recommanderais envers et contre tout ?

Je vous recommanderai mes gros coups de cœur :

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Quel film a la meilleure bande-son selon toi ?

Je peux prendre un joker ? Je ne me souviens pas des bandes-son, shame on me. 

 

Es-tu déjà allé(e) à un festival ou une convention, et si oui, qu’en as-tu pensé ?

Oh là là, tes questions sont difficiles ! La mémoire me manque mais je pense avoir participé à un festival de film quand j’étais encore en France. 

Quel est ton fond d’écran ? (rejoins-moi dans la folie des 1000 fonds d’écran et plus…)

Mon fond d’écran est la photo de mon doudou, mon neveu chéri ❤ ❤ ❤

 

Quel était ton doudou ? ^^

Il s’appelait Jacques, je l’emmenais partout avec moi même à l’église. C’était un ours brun. 

Manga, anime ou aucun des deux ? Pourquoi ?

Plutôt anime même si j’en regarde rarement. J’ai trop de livres à lire. Récemment, un collègue m’a parlé de Death Note. J’ai commencé la 1ère saison et je l’aime bien.  

 

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Cite un livre qui présente une originalité qui t’a marqué (en bien ou en mal)

Babyface de Koffi Kwahulé. Il est un mélange de prose, de correspondance, de poème, de  réalité et de fiction, de journal intime et narration à la troisième personne. 

 

Et pour finir en beauté, quelle est la meilleure manière de tuer un zombie ? (créative si possible 😉 )

On lui fait boire un mélange de laxatif, de bière et de vin. Ensuite on le place au milieu d’une voie d’autoroute, deux voitures roulant à vive allure et venant en sens contraire l’aplatissent. Si ça ne marche pas, on l’expose dans le désert, la lumière du soleil finira bien par le cramer. 

 

 

Les questions de Chris

 

Quels sont les grands thèmes de votre blog ?

La lecture, l’écriture et le célibat épanoui. 

 

Pourquoi avez-vous créé votre blog ? 

Occuper mon temps libre, garder une trace de mes lectures et partager mon expérience de femme libre. Une sainte liberté s’il vous plaît 😀

 

Quel est votre rêve le plus fou ? 

Devenir Prix Nobel 😀

 

Pour un dîner en amoureux, quel serait ton cadeau le plus fou  ?

Mauvaise question pour une célibataire 😀

Je joue le jeu jusqu’au bout. Si on n’est pas encore fiancé, je  lui acheterai une belle montre. Si on est marié, je lui offrirai un dîner dans un jet privé. Dîner entre ciel et terre, c’est ouf non ?! 😀

 

Si tu étais un pays lequel serais tu ? 

L’Italie pour la variété de sa gastronomie, ses paysages, sa chaleur.

 

Si, vous étiez un trait de caractère lequel seriez vous ? 

La patience. Non, je rigole ! Je serais la rigueur.

 

Qui est votre chanteur préféré ? 

Florent Pagny !!!! ❤ ❤

 

Qu’aimez-vous dans la vie ? 

Manger, voyager, dormir, rire, lire, écrire…

 

Avez-vous des passions ?

J’adore lire, écrire, voyager.

 

Que signifie le bonheur pour vous ? 

  • Faire ce que j’aime.
  • Etre aimée, goûter à des mets délicieux, écouter de belles mélodies, voyager, être en bonne santé et ne pas avoir de soucis financiers.

 

Quel livre me recommanderiez-vous ? 

Le chuchoteur de Donato Carrisi.

 


 

En parlant d’Award, je participe à l’E-voir Blog Awards. C’est la « Coupe nationale des blogs », à l’intention des blogueurs de Côte d’Ivoire ou des blogs sur la Côte d’Ivoire, pour soutenir la production d’informations alternatives et l’expression des citoyens.

Vous pouvez voter pour mon blog littéraire en cliquant sur le lien suivant : http://eba.ci/les-notes-de-grace-m/

puis cliquez sur le bouton j’aime de Facebook. Partagez également à vos amis. Je compte sur vous, je suis loin loin dans les votes. Merci d’avance !  🙂

 

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Publié dans Arrêt sur une oeuvre

Throwback Thursday Livresque 24 : Mon époque préférée

Cette semaine, notre rendez-vous préféré du jeudi a pour thème : Mon époque préférée.

J’aime bien l’époque de la monarchie française. Je m’imaginais souvent invitée au bal au palais du roi, faire les longs voyages en calèche 😀

Côté littérature ou peinture, mon époque préférée est celle du 19e siècle, celle qui a vu naître mon cher   Alfred de Musset et des peintres talentueux comme Van Gogh.

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J’ai été impressionnée par ses œuvres lors de ma visite au musée d’Orsay en 2011. J’ai même acheté une reproduction de son tableau la Nuit étoilée. Un ami cher à mon cœur m’a offert ce jour-là le livre qui regroupe les correspondances du peintre à son frère Théo.

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Quatrième de couverture

Traduit du néerlandais par Louis Roëdlant Introduction et chronologie par Pascal Bonafoux La première lettre de Vincent Van Gogh à son frère Théo, datée d’août 1872, est envoyée de La Haye. Il a dix-neuf ans. Il ne sait pas qu’il va peindre. La dernière lettre, inachevée, Théo la trouve dans la poche de Vincent qui s’est tiré une balle dans la poitrine le 27 juillet 1890 à Auvers-sur-Oise. Des dizaines de toiles encombrent sa chambre. Presque quotidiennement, dix-huit ans, Vincent a écrit à Thëo. Et Vincent écrit à propos de tout à Théo comme il lui envoie toutes ses toiles. Il lui montre ce qu’il peint comme ce qu’il est. Ces lettres incomparables – des récits, des aveux, des appels – sont nécessaires pour découvrir le vrai Van Gogh devenu mythe… Il n’est pas un peintre fou. Au contraire, solitaire, déchiré, malade, affamé, il ne cesse d’écrire, lucide, comme il traque la lumière.

 

J’ai lu ce livre de plus de 500 pages avec beaucoup d’engouement. Je l’ai savouré à petites doses. Il m’a servi de compagnon lors de mes trajets en RER.

Il est émouvant.

Le souffle d’espérance qu’il porte est beau et touchant.

On devient l’intime du peintre. Van Gogh dévoile sa sensibilité, ses doutes, ses espoirs, ses sources d’inspiration, sa profonde mélancolie engendrée par les échecs, les vicissitudes de la vie, son envie de jours meilleurs. 

On est ébloui par sa nécessité d’être aimé, soutenu par ceux qui comptent pour lui, la puissance de son amour fraternel, l’importance qu’il accorde à une affection profonde, sérieuse.

J’ai refermé ce livre avec un pincement au cœur. 

Cette correspondance de plus de 652 lettres a été une source d’inspiration pour moi. L’un des poèmes de Chimères de verre a pour titre SORROW, le nom de l’un des tableaux du peintre.

Je recommande ce livre à tous les passionnés d’art, aux âmes sensibles, à ceux qui perçoivent la beauté dans la tragédie.

 

Contemple les belles choses le plus possible, la plupart n’y prêtent guère attention

 

Ayez plus d’espérance que de souvenirs ; ce qu’il y a eu de sérieux et de béni dans votre vie passée n’est pas perdu

 

Tenir le présent et ne pas le laisser s’envoler sans s’efforcer d’en extraire d’abord quelque chose

 

Il doit être bon de mourir avec la conscience d’avoir fait quelque chose de bien dans sa vie, d’être assuré de survivre au moins dans le souvenir de quelques personnes, et de léguer un exemple à ceux qui viendront ensuite

 

Il n’ y a rien de plus réellement artistique que d’aimer les gens.

 

Aimez-vous les tableaux de Van Gogh ? Quel roman auriez-vous proposé pour le thème de cette semaine ?

 

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Publié dans Psyché

Le blog a deux ans d’existence !

Le lundi 18 Mai 2015, en ouvrant ce blog éponyme, j’étais comme ça 

 

 

J’ai écrit mon 1er article, une revue d’un livre qui a été un coup de cœur : Ce que le jour doit à la nuit et j’attendais avec impatience les commentaires.

Aujourd’hui, je suis comme ça 

 

 

Le blog a 2 ans d’existence ! Plus de 39400 pages ont été vues, il y a eu 19500 visiteurs, 324 articles écrits. C’est peu pour certains mais pour moi c’est énorme !

J’ai pensé qu’avec mon boulot, j’aurais mis cette activité en stand-by mais non la passion me presse. L’envie de partager est toujours là même quand je n’ai pas de retour. 

J’ai eu parfois envie de laisser tomber mais je suis contente de n’avoir pas cédé au découragement. Je suis fière d’avoir mené le blog là où il est.

Je tiens à vous remercier, vous qui m’accompagnez dans cette belle aventure. Merci aux abonnés d’hier et d’aujourd’hui pour les visites, les like, les commentaires.

Un grand merci à mon ami, coach Serge Koukougnon qui m’a donné cette idée.

Un énorme merci aux premières femmes et au premier homme qui ont marché sur la lune Grâce Minlibé (mon amie Béné, Esther Carpediem, ma première abonnée au blog et mon frère). Grâce à eux, je me sentais moins seule aux débuts du blog 😀 

Grand merci aux fidèles abonnés :

  • Yasmine D. et sa douce humeur ;
  • ma belle Afrolyne et son franc-parler ;
  • Zélie, l’amoureuse des mots ;
  • Cyriac et son ton de sagesse ;
  • Anne-Ju et son côté tordu ;
  • Juliet et son grain d’humour ;  
  • Nindedelver, PirouetteCacahuètes et tous ceux dont le nom m’échappe. Je sais que je peux toujours compter sur votre présence.

 

Un anniversaire est l’occasion idéale pour se réjouir mais aussi pour faire un bilan. Vu que je ne suis pas seule dans cette aventure, j’aimerais vous associer au bilan du blog, recueillir vos suggestions et pistes d’amélioration.

Pourriez-vous m’accorder quelques minutes et répondre à ce sondage en cliquant ici ?

Et si vous avez une âme de joueur, pourriez-vous dresser le portrait chinois du blog ? Vous répondez aux questions qui vous parlent le mieux. J’ai hâte de vous lire 🙂

Si le blog de Grâce Minlibé était…

  1. Un prix littéraire, ce serait… ?
  2. Un épice, ce serait… ?
  3. Un arbre fruitier, ce serait… ?
  4. Un dessert, ce serait… ?
  5. Un sport collectif, ce serait… ?
  6. Une heure de la journée, ce serait… ?
  7. Une pièce de la maison, ce serait… ?
  8. Un personnage Disney, ce serait… ?
  9. Un signe de ponctuation, ce serait… ?
  10. Une langue, ce serait… ?
  11. Un jeu de société, ce serait… ?
  12. Une pierre précieuse, ce serait …
  13. Une couleur, ce serait… ?
  14. Une des sept merveilles du monde, ce serait… ?
  15. Une matière enseignée à l’école, ce serait… ?
  16. Un genre musical, ce serait… ?

 

 

portrait chinois blog grace minlibe
Portrait chinois du blog par Dame Juliet ! 

 

deuxieme portrait chinois du blog grace minlibe
Portrait chinois du blog par l’auteur Pierre Thiry

 

GM signature

Publié dans Arrêt sur une oeuvre

Throwback Thursday Livresque #14 – Un livre jamais chroniqué sur votre blog et pourtant apprécié

Voici le Throwback Thursday Livresque ! Conçu sur le même principe que le Throwback Thursday d’Instagram mais vraiment concentré sur les livres !

Ce que permet ce rdv ? De ressortir des placards des livres qu’on aime mais dont nous n’avons plus l’occasion de parler, de faire découvrir des livres à vos lecteurs, de se faire plaisir à parler de livres !

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Le thème de cette semaine est : un livre jamais chroniqué sur votre blog et pourtant apprécié.

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Pour ce thème, j’ai choisi…. L’alchimiste (Editions France Loisirs).

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Résumé

Merveilleux conte philosophique, ce récit narre la quête de Santiago, jeune berger andalou à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides. Initié par l’alchimiste, rencontré dans le désert, le jeune homme apprendra à écouter son propre cœur, à retrouver ses envies profondes et à prendre le chemin de l’accomplissement de son rêve.
Quête humaine bouleversante, une ode à la vie à lire, relire et à offrir à ceux qu’on aime.

Au début, j’étais un peu perdue.  L’alchimie et toutes ces théories, je n’y connaissais rien. Petit à petit, le voyage initiatique  de Santiago m’a poussé à faire mon propre voyage. 

Le rêve que poursuit Santiago m’a projetée dans l’univers de mes propres rêves et espoirs.

Par son voyage initiatique, j’ai refléchi, je me suis interrogé, je suis partie à ma recherche. 

Santiago est prêt à tous les sacrifices pour réaliser son rêve. Suis-je aussi passionnée par mes rêves ? Est-ce que je me donne les moyens de les réaliser ? Est-ce que j’écoute mon coeur ? Suis-je sensible à tout ce qui m’entoure ? Comment est-ce que je traite mon présent ?

« C’est dans le présent que réside le secret ; si tu fais attention au présent tu peux le rendre meilleur. Et si tu améliores le présent, ce qui viendra ensuite sera également meilleur. Oublie le futur et vis chaque jour de ta vie selon les enseignements de la Loi, et en te fiant à la sollicitude de Dieu à l’égard de ses enfants. Chaque jour porte en lui l’Eternité. »

Le bonheur est-il une destination ? 

Si tu veux comprendre le mot bonheur, il faut l’entendre comme une récompense et non comme un but.

La vie de chacun de nous a un sens, à nous de le découvrir !

Chacun de nous a sa Légende Personnelle, à nous de la vivre !

L’alchimiste est un roman à lire en prenant son temps. C’est un livre délicat, reposant, spirituel, optimiste que j’aurais chroniqué sur mon blog si je l’avais créé au 1er semestre 2013. 🙂

Tout ce qui arrive une fois peut ne plus jamais arriver. Mais tout ce qui arrive deux fois arrivera certainement une troisième fois.

« Une quête commence toujours par la Chance du Débutant. Et s’achève toujours par l’Epreuve du Conquérant. »

Quel livre auriez-vous choisi pour ce thème ? Avez-vous des romans sur la quête intérieure / épanouissement personnel à me recommander ?

L’image contient peut-être : tasse de café et texte

Cet article est également écrit dans le cadre du challenge d’écriture du Café des blogueuses sur le thème lecture

Toujours dans le cadre du challenge, je vous mets trois liens de blogueuses dont j’apprécie le travail. 

Dessins sans gluten – Journal de l’aurore – My trendy Lifestyle

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