Fiercely independent Abigail has seen what marriages have done to her parents. Convinced it’s what drew them apart as people, she’s vowed she would never marry and let the same thing happen to her. That is until David Wade, the billionaire son of her pastor, comes along.When David’s father sends him and Abigail to help build a church, the two find they have more in common than they first realize. But unless something changes, David may not be able to make Abigail the wife he’s always dreamed of.
Can David show her that marriages are made in heaven and take her to be his bride ?
Quel livre présenter aujourd’hui ? J’ai consulté ma liste de livres lus sans chronique. N’ayant pas encore lu de romance depuis le début de l’année_ un fait exceptionnel soit dit en passant _ je vous présente l’avant-dernière romance lue l’an dernier.
J’ai rajouté ce livre à ma wishlist parce que la thématique du célibat et l’atmosphère romance chrétienne m’avaient attirée. J’avais hâte de voir comment l’auteur allait développer ces thématiques
Abigail, notre héroïne, est responsable du département jeunesse de son église. Elle préfère rester célibataire car l’expérience maritale de ses parents n’a pas eu une issue heureuse.
Le pasteur de son église a un fils, David Wade. Trentenaire, il crée et vend des jeux vidéo. Son père leur confie (à Abigail et lui) un projet de construction d’une église. J’ignore si l’auteure a voulu faire un clin d’œil au roi David et à son épouse Abigail en empruntant leurs prénoms.
L’attirance naît mais Abigail se retient. Elle ne veut pas tomber amoureuse et envisager une relation sentimentale. Elle a en elle, le souvenir de l’échec de ses parents. David va essayer de la libérer de ses peurs, de lui montrer comment aimer apporte le bonheur.
L’idée de base de la romance est bonne mais a quelques faiblesses. Abigail a trop vite capitulé. Ses barrières sont trop vite tombées selon moi. On ne lâche pas ses convictions aussi vite.
Le mariage de ce couple est axé sur les premiers mois, là où tout est rose. Abigail découvre le sexe au sein du mariage. Il y a plusieurs scènes intimes décrites. Une seule aurait suffi.
Abigail est couverte de cadeaux de son mari et elle est heureuse d’avoir dit oui au mariage. J’aurais voulu qu’on nous décrive leur mariage plusieurs années plus tard. Qu’au milieu des difficultés, Abigail soit toujours autant heureuse d’être avec son mari.
J’ai aussi trouvé dommage que le bonheur dans le mariage ne se limite qu’aux cadeaux. C’est vrai que c’est l’un des cinq langages de l’amour et c’est sans aucun doute celui d’Abigail mais j’aurais voulu qu’il y ait d’autres aspects décrits.
L’accent est mis sur le côté milliardaire de David et ça m’a dérangée que l’argent soit autant mis en avant. Il est vrai qu’on est dans une romance et que DIEU n’est pas contre l’argent mais il n’y a pas que l’argent qui fait le bonheur.
J’ai lu le texte en VO et je n’ai pas eu de difficulté majeure à suivre l’histoire.
En conclusion : Marrying The Pastor’s Billionaire Son est une sympathique histoire mais qui manque de profondeur. J’aurais voulu vibrer avec les personnages mais la magie de la romance n’a pas opéré.
C’est l’heure du Throwback Thursday Livresque ! Cette semaine, le thème est : un livre qu’on aimerait voir adapter.
J’ai pensé à cette BD de Désiré Atsain
Le premier mari d’une femme africaine ? En aurait-elle plusieurs ?
Le titre de cette BD d’une cinquantaine de pages ne fait ni référence à l’infidélité, ni à la polyandrie.
C’est une expression dont j’ignore l’origine exacte. Je l’ai entendue la première fois de la bouche de mes parents. Ton premier mari, ce sont tes études, m’ont-ils dit.
Il y a plusieurs variantes à cette expression : le premier mari d’une femme, ce sont ses diplômes ou son travail.
Les parents exhortent ainsi leurs filles à se concentrer sur leurs études et à chercher leur indépendance.
L’héroïne de la BD a privilégié ses études puis son travail. Mais l’âge avance et ses parents aimeraient qu’elle ait un mari fait de chair et d’os.
En Afrique, une femme non mariée n’a pas de réelle valeur. Notre héroïne l’entend à plusieurs reprises. La pression s’accentue, la solitude s’intensifie. Elle accepte les avances d’un client de l’entreprise où elle exerce en tant que commerciale.
Une relation amoureuse débute. Notre héroïne est doublement heureuse car elle a trouvé l’amour et a un statut dans la société.
Mais l’élu de son cœur est très possessif. Il lui demande d’arrêter de travailler et de s’occuper de l’éducation de sa fille, le fruit d’une précédente union.
Notre héroïne ne veut pas être une femme au foyer mais n’a pas envie d’être de retour sur le banc des célibataires. Elle se plie aux exigences de son chéri, sa vie prend une autre tournure…
Cette BD dénonce la pression étouffante que la société met sur les femmes épanouies professionnellement mais célibataires, une pression qui les pousse parfois à tout accepter juste pour avoir un mari.
Le premier mari d’une femme africaine aborde un sujet d’actualité dans ma contrée. Son adaptation suscitera sans aucun doute des débats. Elle pourrait servir de lieu d’échanges pour les femmes, de moyen de sensibilisation pour qu’elles sachent que leur ambition, leur bien-être ne sont pas négociables.
Et vous, quel titre auriez-vous choisi pour ce thème ?
Au-delà de la fête des amoureux, la Saint-Valentin c’est la fête de l’amour, n’est-ce pas ? Amour avec grand A, amour de l’autre, amour de soi ?
Je vous présente un livre qui évoque l’amour de soi : En couple avec moi-même de Marcela Iacub.
Après son divorce, une quadragénaire s’apprête à chercher un nouveau conjoint. Elle ignore qu’elle ne vaut plus rien ou presque sur le « marché matrimonial », ainsi que les difficultés relationnelles en tout genre qui l’attendent. Or, loin de se résigner, l’héroïne de ce récit trouve une solution révolutionnaire : se mettre en couple avec elle-même. Elle ne se contente pas de trouver le bonheur de cette curieuse manière ; désormais, elle est persuadée qu’à l’avenir, chacun comprendra que cette recette est la seule viable pour l’humanité toute entière.
Je porte un intérêt particulier au célibat, ce qui m’a d’ailleurs poussé à créer ce blog et une section pour les célibataires. Cet attrait pour le sujet m’a donné l’envie de découvrir En couple avec moi-même, un livre situé entre l’essai et l’autobiographie. J’ai eu envie de découvrir la vision du célibat de l’auteure.
L’auteure est une quadragénaire divorcée qui désire se remettre sur le marché matrimonial. Hélas, rien ne se passe comme elle le désire.
Dès le début de ma nouvelle vie, j’ai compris qu’un obscur tribunal de l’amour m’avait condamnée à vouloir ceux qui ne voulaient pas de moi, et à fuir comme la peste ceux qui me voulaient.
Elle évoque le difficile chemin de sa solitude et les moyens usés pour s’en séparer notamment en remplaçant le manque d’amour par l’amitié. Hélas, ses amis ont une vie familiale bien remplie et ne sont pas toujours disponibles.
J’ai compris sans doute trop tard qu’une fois la première jeunesse terminée, l’ensemble de nos liens de sociabilité dépend de notre situation conjugale. Comme si la société complotait pour que tout un chacun se range dans un couple.
Se sentant isolée comme Robinson Crusoé, elle décide au bout de quelques mois de se mettre en couple avec elle-même.
Cette union tardive est le plus beau cadeau que j’aie reçu de la vie
L’auteure se parle à elle-même. Elle s’encourage, s’envoie des mots d’amour. Elle se prépare des petits plats pour se surprendre. Elle profite comme une fanatique de ce que l’humanité fait de mieux.
J’ai apprécié cette mise en avant de l’estime, de l’amour de soi…
L’amour que tout être humain ressent envers lui-même ne devrait jamais être conditionné à quoi que ce soit.Autrement, il n’est pas véritable. Ce n’est pas de l’amour mais de l’esclavage. Les maîtres changent de nom et de visage à chaque fois que l’on retrouve un nouveau partenaire.
Nous n’attendons rien des autres rien de vraiment important. Cela ne veut pas dire que nous n’en attendons rien. Mais ce qui est fondamental, ce qui nous tient vivants, ce qui nous octroie la joie de vivre trouve sa source de nos noces avec nous-mêmes.
Le bonheur collectif passe aujourd’hui par l’amour vrai et fou envers soi-même.
Je trouve qu’il est important de s’aimer avant d’aimer l’autre mais j’ai trouvé certaines idées de l’auteure sur le couple très radicales. Selon elle, le couple contemporain permet de trouver un biais pour s’aimer à travers l’autre, grâce à l’autre. Les gens s’aiment par l’intermédiaire d’une autre personne. Cela peut être vrai pour certaines personnes mais de là à l’ériger en vérité universelle…
A lire ses propos, j’ai eu l’impression qu’elle était persuadée de la disparition du couple dans un avenir proche. On peut choisir de ne pas être en couple mais dénigrer l’essence du couple et la relation à deux, là, j’adhère moins.
J’ai parcouru la toile pour en savoir plus sur l’auteure et apparemment les thématiques de ses livres sont assez étranges. L’avez-vous déjà lue ?
Léa, jeune mère courage n’a qu’une obsession: trouver un nouveau papa pour Moya sa petite orpheline et ainsi fonder un foyer, symbole de respectabilité et synonyme de réussite dans la plupart de nos sociétés africaines. Au nom du mariage, Léa accepte brimades et humiliations. Au nom de l’amour, elle est aveugle. Si aveugle et préoccupée à lécher ses propres blessures, qu’elle ne voit pas ce père trop entreprenant à l’égard de Moya. Cette histoire, c’est la candeur entachée d’une fillette de 12 ans qui se raconte. C’est le regard de Moya qui découvre douloureusement un monde d’adultes dans toutes ses perversités, ses fragilités et son hypocrisie. C’est l’échec de nos sociétés, l’incohérence de notre justice, le poids de nos traditions…
Lamazone Wassawaney était l’invitée de Livresque 30. Pendant une heure, nous avons échangé avec elle sur les thèmes de ce premier roman qu’elle offre au public et qu’elle a auto-édité.
Edité au format poche, La candeur entachée _ 1er tome de la trilogie Regards de vérité_ semble avoir été imprimé par un éditeur étranger. L’impression est de qualité, la police d’écriture est assez petite mais pas gênante.
J’ai désiré avoir ce roman autant pour son aspect visuel que pour son contenu.
L’auteure ne se revendique pas féministe, elle mène un autre combat : dénoncer les violences physiques et psychologiques faites aux femmes, la pédophilie passée sous silence dans notre société en particulier en Côte d’Ivoire et mener des actions concrètes pour qu’elles cessent.
L’auteure par ses mots choisis avec soin nous invite à mener ce combat avec elle.
La candeur entachée à travers les confidences de Moya et sa mère Léa dresse avec exactitude le portrait de notre société. Une société où le mariage est celui qui donne un sens à l’existence de la femme, une société où la femme doit tout supporter, n’a que des devoirs et aucun droit.
Ça a été un réel plaisir de faire la connaissance de Yowl, l’amie de Léa. J’aime parfois dans mes lectures rencontrer des personnages qui me ressemblent. Yowl a la même vision de la vie que moi. Elle n’a ni homme ni bébé mais cela ne l’empêche pas d’être heureuse. ❤
La candeur entachée est un roman à lire et à faire lire pour les thèmes d’actualité qu’il aborde avec finesse. Le cliffhanger donne sans contredit l’envie de lire le tome 2. J’espère qu’il ne tardera pas.
Je n’ai noté qu’un bémol durant ma lecture : narré à la 1ère personne, j’ai trouvé que le langage soutenu de Moya était inapproprié même si c’est une jeune fille très mûre pour son âge.
Coucou chers abonnés ou lecteurs en visite ! Aujourd’hui, point de lecture. La section « célib à terre » en jachère me réclame.
Un dimanche, en pleine conversation avec moi-même, je suis arrivée à cette conclusion : ce n’est pas que ça.
La vie d’une femme consiste à avoir une famille mais… ce n’est pas que ça.
La vie d’une femme consiste à élever ses enfants, prendre soin de son mari, de son foyer mais… ce n’est pas que ça.
Toute femme a ce besoin naturel de se marier (la cérémonie de mariage de rêve, on en a rêvé au moins une fois dans notre vie), avoir un foyer, des enfants.
C’est un besoin commun et légitime mais la vie d’une femme ne se résume pas à ça dans mon entendement.
Il est bien de chercher à se marier, avoir des enfants mais être une femme va bien au-delà.
Le but de la vie n’est pas le mariage et la descendance, je le crois fermement. Ne réduisez pas votre vie à cela. Votre but est bien plus grand.
Chaque femme doit aller plus loin dans ses désirs et chercher son « Ce n’est pas que ça« .
Ce que je choisis de nommer « Ce n’est pas que ça » c’est cette chose unique qu’on doit faire en ce monde.
Chaque être humain a un but sur cette terre et la femme n’est pas exclue. Chaque femme doit faire son possible pour tendre vers ce but et l’accomplir.
Chaque femme doit révéler son « Ce n’est pas que ça ». Je dis bien, chaque femme ; le but d’une vie n’est pas réservé à une quelconque classe.
Etre la fille d’un homme ou d’une femme influent (e), la femme d’un homme influent, la mère d’un homme ou d’une femme influent a de la valeur mais être une femme influente a encore plus de valeur.
Comprenez-vous où je veux en venir ?
Ok, je m’explique.
Avez-vous une identité en dehors de ces multiples casquettes ?
Si on vous enlève votre statut de femme marié, que vous reste-t-il ?
En dehors de votre vie d’épouse, de votre vie de mère, quelle femme êtes-vous ? Que faites-vous ?
Existez-vous à travers votre rôle d’épouse, de mère ou existez-vous en tant que femme ?
Ne vous satisfaites pas du statut que vous procurent votre compagnon, vos parents ou vos enfants. Ne vous cachez pas derrière eux, prenez votre place et brillez.
Avez-vous réellement réfléchi à la personne que vous étiez réellement ?
Votre identité se construit pendant votre saison de célibat, là où il n’y a ni mari ni enfant, là où vous êtes seule face à vous-même. Voilà pourquoi, il est important de faire attention à ce que vous semez pendant cette période.
Si vous orientez bien votre célibat, vous prendrez conscience de la personne que vous êtes réellement. Vous écouterez mieux votre intuition. Ne subissant l’influence de personne, vous en apprendrez davantage sur vos goûts, vos désirs, vos envies et vos besoins réels.
Si vous êtes encore célibataire, avant de chercher à avoir des enfants et de vous marier, cherchez à savoir le but de votre vie parce qu’un mari et des enfants viendront se greffer à votre but et pas l’inverse.
Parce que la répétition est une vertu pédagogique, je vous invite à relire cet article écrit aux premières heures du blog : Avoir un B…
Coucou les gens ! Aujourd’hui, point de lecture. La section « Célib à terre » en jachère me réclame.
Des jeunes femmes m’ont demandé comment je faisais pour être autant épanouie dans un célibat sans flirt/ plaisir sexuel. Mon secret c’est….
La maîtrise de soi
Je ne vous apprends rien en vous disant que la maîtrise de soi est la capacité qu’a un être humain de dominer, ou de contrôler ses émotions, ses sentiments et ses réactions dans différentes circonstances de la vie.
La maîtrise de soi est tellement importante quand on est célibataire. Avec la pression morale qu’on peut subir de notre entourage, l’impatience qui s’attache à notre désir de sortir du célibat, des pulsions de notre corps qui réclame souvent son dû, ne pas être capable de se maîtriser face aux situations fâcheuses peut nous porter préjudice.
Mais maîtriser ses émotions, ses pensées est difficile. Encore plus pour la maîtrise du corps. On aime souvent répéter que la chair est faible. La quasi présence des scènes de sexe dans les films ne nous facilite pas la tâche.
Apprendre à maîtriser ses émotions, ses désirs, pensées et sens ne s’acquiert pas en un jour. C’est un long processus qui nous demande deux choses : la volonté et la discipline.
C’est un processus qui demande de la détermination, il est tellement facile de se laisser aller, de se laisser contrôler par ses humeurs et désirs de son corps.
Des pensées négatives, des pensées de découragement, j’en ai chaque jour. Depuis que j’ai compris le pouvoir de la parole et de la pensée, je ne gère plus ces pensées de la même manière et j’aimerais que vous arriviez à le faire également.
Un exemple
Quand dans votre esprit surgit cette pensée : « aucun homme ne voudra de moi. Je finirai ma vie seule. « Ne laissez pas cette pensée vivre, se répandre, contaminer votre âme.
Neutralisez cette pensée. Ayez le dernier mot. Comment ? En disant une parole positive. Dites à haute voix : je ne vais pas me laisser influencer par cette pensée. Je ne vais pas lui accorder plus de valeur. Je ne finirai pas seule.
2. Votre âme
Souvent nous nous laissons influencer par nos sentiments et nous donnons libre cours à nos émotions. Il nous faut certainement apprendre la modération dans l’expression de nos sentiments, de nos émotions et de nos désirs.
Quand on voit autour de nous des gens se délecter du pain de l’amour alors qu’on n’a même pas une seule miette le chagrin peut surgir et affecter notre humeur. Dans ces moments accompagnez-vous d’un MAIS.
Un exemple
Une femme penserait sûrement : J’aimerais tellement avoir quelqu’un dans ma vie ! Elle ne doit pas s’arrêter à cette phrase, elle est incomplète.
Voici la suite de la phrase : MAIS je ne vais pas en faire un sujet de tristesse. Je ne laisserai pas ce que j’ai vu ou entendu me voler ma joie, ma stabilité. Je suis le capitaine de mon âme et non l’inverse.
3. Votre corps
Notre corps est la partie la plus fragile de notre être, parce que la plus exposée à cause de nos facultés sensorielles. Nos sens subissent toutes sortes de sollicitations venant de l’extérieur. Ils sont autant d’accès, de portes et de fenêtres, par lesquelles entrent et sortent des choses bonnes et mauvaises.
Quand le corps réclame son dû, il est important de lui rappeler qu’on n’est pas un animal et qu’on est le capitaine.
Oui, la chair est faible mais elle peut être disciplinée.
Trop souvent, nous sommes esclaves des désirs de nos facultés sensorielles et nous cédons à leurs désirs. Tout n’est pas bon à regarder et écouter.
Avant, j’avais cette manie d’identifier mon futur époux à travers tous les hommes que je croisais et qui me plaisaient. Dans mes pensées c’était : est-ce que c’est lui ? C’est peut-être lui, qui sait ?
Et je vous assure que j’ai eu une cinquantaine de futurs époux en ne maîtrisant pas mon sens qu’est la vue. 😀
C’était terrible et à chaque fois j’étais dépassée par ce manque de contrôle.
Un jour, cette phrase a résonné dans ma tête :
« Tu ne te connais pas assez, tu ne te connais pas tout simplement. Si tu savais qui tu étais réellement, Grâce tu n’identifierais pas ton futur mari de cette façon. Si tu te reconnaissais, tu n’aurais pas de mal à reconnaître ton autre. »
Cette pensée a été un catalyseur, un moteur pour me connaître davantage et discipliner ma vue. Parce que je sais qui je suis, je ne laisse pas aller mes yeux aller n’importe où, mes pensées franchir la zone de danger, je me contrôle.
Ce 8 Mars, j’aimerais vous présenter une femme inspirante : Ndèye Fatou Kane, 31 ans, célibataire depuis quelques mois, lectrice compulsive, jeune écrivaine qui s’essaie à l’écriture depuis quatre ans, supply chain manager. La lecture fait tellement partie d’elle, qu’elle a arrêté de compter le nombre de livres qu’elle lit par an. Les livres occupent une place centrale dans sa vie.
Elle a bien voulu se prêter au jeu de mes questions sur le célibat, le monde du livre et des femmes.
A quoi pourrais-tu associer ton célibat ? Mon célibat du moment pourrait être associé à une volonté de mettre en place certains projets… Entre le travail et l’écriture, je n’ai presque pas de temps pour les loisirs, donc pas le temps à consacrer à une relation digne de ce nom … Mais j’ai espoir que le moment venu, les choses se mettront en place d’elles-mêmes. Ne dit-on pas que tout vient à point à qui sait attendre ? Je ne me mets aucune pression, je crois au destin et quand celui-ci aura décidé d’activer ses forces invisibles, tout se fera …
Peut-on être célibataire et heureuse ? Il faut sortir du paradigme – imposé malheureusement par la société – qui stipule que pour les femmes, être heureuse et épanouie passe nécessairement par le couple. Je crois qu’avant de chercher le bonheur, il faut d’abord le trouver en soi. Et une fois que cela est fait, tout ce qui arrive par la suite ne sera que bonus. Donc oui, on peut être célibataire et heureuse !
Te sens-tu différente des autres femmes parce que tu n’es pas encore mariée ? Pas du tout … Comme je l’ai dit plus haut, la pression est forte au niveau des femmes pour se caser. Les questions toutes plus indiscrètes les unes que les autres, ne cessent de fuser, surtout lorsqu’on atteint la trentaine. J’ai 31 ans, je suis bien dans ma peau, j’ai des objectifs à atteindre, alors je ne me sens pas différente d’une femme qui est mariée et qui n’est peut-être pas heureuse … Les apparences sont souvent trompeuses.
Comment ta famille ou tes amis perçoivent ton célibat ? J’ai la chance d’avoir des parents et un entourage qui m’encouragent et me boostent dans toutes mes entreprises …. Je crois que si je n’avais pas eu cette chance, j’aurai été une toute autre femme, alors je remercie Dieu de les avoir à mes côtés.
Qu’apprends-tu pendant cette période de célibat ? A aimer ma personne, à faire preuve d’indulgence envers moi–même, et à mener à bien mes projets …
Quel mot d’encouragement adresserais-tu aux femmes qui souffrent de la solitude, du célibat ? A ne pas se mettre la pression et surtout à faire confiance au temps, qui résout tout.
Ton grand-père est un monument de la littérature africaine et tu es aussi écrivain. As-tu eu peur que l’on te compare à lui ?
La comparaison est inéluctable. Je suis fière de l’admiration qui émane des personnes découvrant qu’il est mon grand-père et qui me parlent souvent de l’impact qu’a eu son oeuvre dans leurs vies. C’est le but recherché par un écrivain, que ses œuvres transcendent le temps et les générations. Au-delà du fait que nous soyons apparentés, il est une personne humble, généreuse, au parcours exceptionnel. Cette comparaison me pèse parfois, car l’on s’attend à ce que je fasse la même chose que lui, ce qui est bien sûr impossible … Mais j’espère tracer ma route, et ne plus être vue comme une « petite-fille de … »
Ndeye Fatou Kane, petite-fille de Cheikh Hamidou Kane ou préfères-tu Ndeye Fatou Kane, tout simplement ? Pourquoi pas Ndèye Fatou Kane, tout simplement ? Si je suis amenée aujourd’hui à pratiquer la même activité que lui, c’est juste un extraordinaire concours de circonstances. Donc Ndèye Fatou Kane, ça ira.
Si Emmanuel Macron te propose de contribuer aux travaux de réflexion qu’il souhaite engager autour de la langue française et de la Francophonie accepterais-tu ? La francophonie telle que je la conçois, devrait d’abord être culturelle, en ce sens où les pays partageant des locuteurs francophones devraient s’engager à promouvoir leurs cultures et procéder à un échange interculturel entre eux. Ces pays, pour la plupart africains, sont encore – reconnaissons le – sous le joug de la puissance colonialiste qu’est la France.
Tant que l’on ne revient pas aux fondamentaux de la francophonie et intégrer les pays africains qui ont la langue française en partage à l’évolution de cette francophonie, le débat sera faussé selon moi. Ahmadou Kourouma disait bien qu' »Il a planté une case dans la cour de Molière… » Cette phrase résume tout. Alors non, je me vois mal collaborer pour une réflexion autour de la francophonie …
Tu es très engagée dans le monde du livre. Prévois-tu d’ouvrir à moyen terme une bibliothèque, librairie, maison d’édition ? La lecture est ma passion il est vrai. Entre la pléthore de livres que je lis par mois, mon blog et le groupe Nous aimons lire que j’administre sur Facebook, sans oublier mes autres activités en dehors du livre, j’ai fort à faire … Il ne faut jamais dire jamais, mais je me donne le temps pour voir si je mettrai sur pied un projet ayant trait au livre.
Ta première œuvre date de 2014. Une autre œuvre est-elle en cours ? Mon premier roman le Malheur de vivre est sorti en 2014. Je viens de publier Vous avez dit féministe?, un essai autour de la question du féminisme.
Quelles sont les femmes qui t’inspirent ? Il y a trois femmes que j’admire énormément, tant pour leurs trajectoires de vie que pour leur carrière : Mariama Bâ, Chimamanda Ngozi Adichie et ma mère …
Y a-t-il des auteures africaines dont tu aimes la plume et qui ne sont pas assez médiatisées ? C’est le moment de leur faire de la pub 😀 Je pourrais citer à cet effet Soxna Benga, auteure sénégalaise qui n’est pas assez sous les feux de la rampe selon moi, Lola ShoneyinetBuchi Emecheta.
Petit instant détente, dessinons ton portrait chinois
Si tu étais
Un prix littéraire, ce serait… ?
Le Prix Ivoire pour la littérature africaine d’expression francophone
Un épice, ce serait… ?
Une maison d’édition, ce serait… ?
Les Nouvelles Editions Ivoiriennes – NEI
Un dessert, ce serait… ?
source Marmiton
Un sport collectif, ce serait… ?
fox 47 News
Une heure de la journée, ce serait… ?
Une pièce de la maison, ce serait… ?
source ooreka
Un personnage Disney, ce serait… ?
source mercado livre
Une langue, ce serait… ?
Un jeu de société, ce serait… ?
Une couleur, ce serait… ?
Une des sept merveilles du monde, ce serait… ?
Une matière enseignée à l’école, ce serait… ?
Les sciences naturelles
Un genre musical, ce serait… ?
source 10 questions.net
Propos recueillis par Grâce Minlibé -reproduction interdite sans autorisation de l’auteure et l’interviewée.
Soucieuse de son confort et de son indépendance, Deola vit à Londres, tenant ainsi à distance son pays, le Nigeria, et sa famille installée à Lagos. Marquée par une jeunesse ballottée entre deux mondes, elle manoeuvre, dans ses relations professionnelles et amicales, pour éviter de s’exposer, de cristalliser sa différence. Sous ses dehors impassibles, rires, indignations, espoirs, affections et doutes se bousculent en une émouvante effervescence. De retour au Nigeria dans le cadre d’une mission, elle retrouve sa famille, qui commémore le décès de son père, et elle cède à la tentation d’une aventure amoureuse. Cette rencontre, véritable grain de sable dans la vie bien rodée de Deola, l’amène à se libérer du carcan qu’elle s’était imposé, à dépasser son insidieuse frustration pour s’engager dans une voie risquée, mais choisie. Avec une sobriété ciselée, une tenue remarquable, un humour incisif, une vraie tendresse pour ses personnages et pour les villes de Lagos et de Londres, Sefi Atta explore les questions de l’exil, de la famille, de l’amitié, de la féminité, de l’altérité, restant au plus près du bruissement entêtant de la vie.
Ce roman dresse le portrait de la société nigériane où le christianisme moderne occupe une place importante. Deola n’est pas pratiquante, elle croit en Dieu un jour sur deux. Ses réflexions parfois judicieuses sur le christianisme hypocrite, tapageur m’ont beaucoup fait rire :
Deola, fille de bourgeois, est une immigrée à Londres. L’immigration… Les occidentaux sont toujours des expatriés, des émigrés donc et les Africains des immigrés. Je me demande quand est-ce que la tendance va s’inverser…
Deola à travers sa propre expérience et celle de son amie Subu nous montrent comment se vivent l’immigration nigériane en Angleterre ou aux USA, l’ostracisme et le racisme. Certains nigérians en immigrant se comportent comme des Anglais, d’autres tiennent à préserver leur origine. Dans le milieu professionnel, parfois, le plafond de verre est brisé, parfois non.
Deola travaille dans une ONG qui audite des projets humanitaires dans le monde, le Nigéria y compris. Une nation riche de pétrole, pleine de potentiel qui tend encore la main. Jusqu’à quand ?
La narratrice nous expose les habitudes hilarantes et paradoxales des nigérians à Lagos comme à Londres. Elle dresse surtout le portrait de femmes indépendantes. Des femmes qui choisissent qui elles veulent aimer, refusent de se plier aux directives des autres quand il s’agit de leurs vies. Elles font le choix de rester seule, de quitter un mariage où l’homme ne les respecte pas.
Notre héroïne, elle, fait face à plusieurs choix : quitter Londres pour Lagos, abandonner la solitude pour un compagnon, garder un enfant non désiré ou pas.
Ce roman m’a séduite par son humour, sa fluidité, ses personnages pittoresques, les thématiques qu’il aborde. J’ai passé un agréable moment de lecture. Etant dans ma période « romance » j’aurais voulu vivre davantage le nouvel amour de Deola. Il a été plutôt bref pour moi.
Vous avez une amie immigrée, trentenaire ou quadragénaire célibataire ? Ce livre est top pour son cadeau de Noël.
Éditeur: ACTES SUD
Date de publication : Mai 2014
Nombre de pages : 368
Traduit de l’anglais (Nigeria) par : Charlotte WOILLEZ
Attendre l’homme de sa vie… Et si l’on traversait les années sans le trouver ? Et si l’on se retrouvait seule jusqu’au dernier soir de la vieillesse ? Le célibat… et si c’était pour la vie ?
J’imagine déjà certaines femmes s’évanouir en lisant cela, d’autres toucheraient sûrement du bois. Le célibat, personne ne veut y rester mais… et si pour certaines c’était pour la vie ?
J’ai lu un article de Chantal en mai dernier sur TopChretien.
Chantal est une française de 61 ans et elle a toujours été célibataire. Son article sur ce thème m’a touchée et j’ai eu envie qu’elle partage avec nous son expérience de célibataire. Elle a accepté et je lui suis reconnaissante pour ce bout de chemin de vie qu’elle partage avec nous.
Quels sont les 3 mots qui te décrivent parfaitement ?
Patiente, sociable, très ordonnée.
A quoi pourrais-tu associer le célibat ? Une gestion à mettre en place.
Nouvelle réforme de l’orthographe : le mot célibat est banni. Par quoi le remplacerais-tu ? Solibataire.
Te retrouver seule, c’est… : Un mode de vie épanouissant.
Peut-on être célibataire et heureuse ? Oui, sans aucun doute, on peut être célibataire et heureux(-se), en voyant les bons côtés de la solitude (grande liberté, plus grande disponibilité spirituelle, on est à l’abri des aléas du mariage).
Comment gères-tu le poids de la solitude ? Pour moi, la solitude n’a jamais été un poids trop lourd à porter, même si j’ai parfois des regrets quand je vois des couples heureux d’être ensemble.
Te sens-tu différente des autres femmes parce que tu es célibataire ? Il m’arrive d’envier les femmes heureuses en ménage, mais la plupart du temps, je ne me sens pas différente des autres.
Comment ta famille ou tes amis perçoivent-ils ton célibat ? Je n’ai pas eu l’occasion de leur poser la question, mais je sais qu’ils voient en moi « une femme au cœur joyeux », et je pense que ça les étonne.
Qu’est-ce qui a changé en toi depuis que tu es célibataire ? Mes longues années de solitude ont fait que je suis beaucoup plus introvertie que quand j’étais jeune, mais ça me convient bien, car j’ai découvert chez moi un côté contemplatif que je ne soupçonnais pas.
Qu’est-ce que tu apprends pendant cette période de célibat ? À mieux goûter l’instant présent, à être reconnaissante de tout ce que Dieu me donne, à apprécier l’amitié à sa juste valeur.
Quel mot d’encouragement adresserais-tu aux femmes qui souffrent de la solitude, du célibat ? Je suis convaincue que le mariage aussi comporte sa part de souffrances, elles sont seulement différentes de celles du célibat, pas forcément plus faciles à vivre. Souvenons-nous aussi qu’on sort du célibat plus facilement et plus agréablement que du mariage !
Y a-t-il une question que tu aurais envie que je te pose ? Oui : Y a-t-il quelque chose qui t’a aidée à bien vivre ton célibat ?
En 2002, j’ai participé à un camp chrétien pour les solos. Nous étions une trentaine et il s’est passé entre certains d’entre nous quelque chose qui tient du miraculeux : nous avons vécu une sorte de « coup de foudre collectif », si bien que des liens d’amitié très forts se sont tissés entre nous. Grâce au courrier électronique, un petit noyau est resté en contact. La composition du groupe s’est un peu modifiée au fil des ans : les uns sont partis (décès, mariage, etc…), d’autres se sont ajoutés. Seulement deux se sont mariés (en dehors du groupe, d’ailleurs) mais une est restée attachée à notre petite communauté et revient avec son mari chaque fois qu’elle le peut. Nous sommes très dispersés géographiquement mais, quinze ans plus tard, nous continuons à nous réunir une à deux fois par an : au moins une semaine l’été et quelques jours au Nouvel An. La plupart d’entre nous sont (encore ? ou de nouveau) seuls, mais cette amitié nous aide à vivre le célibat au quotidien : nous nous soutenons moralement et prions les uns pour/avec les autres. Sans eux, je pense que ma solitude serait beaucoup plus difficile à supporter. Je remercie Dieu de les avoir mis sur ma route.
As-tu déjà pensé à avoir un enfant juste pour ne pas être vieille fille ?
Non, jamais ! En plus de transgresser la loi de Dieu (Deutéronome 22.21), il aurait fallu que j’élève un enfant toute seule… non merci !
Est-ce que tu as toujours en toi l’espérance du mariage ?
Le mariage ? Je ne sais pas. Le désir de connaître un jour un amour partagé est toujours là, mais j’envisage sans peine de finir ma vie seule.
Propos recueillis par Grâce Minlibé – Reproduction interdite sans la permission de l’auteure et l’interviewée.
Happy New Month les amis ! Que ce nouveau mois soit la terre de concrétisation de vos rêves et projets !
J’ai le plaisir de vous annoncer un nouveau rendez-vous sur le blog : C’est le 1er, je balance tout !
C’est le 1er, je balance tout est un rendez-vous littéraire initié par le blogAllez vous faire lire, dans l’optique d’une entraide féconde entre blogueurs.
Le principe ? Quatre trucs à balancer !
Le Top & Flop de ce que vous avez lu le mois-dernier.
Au moins 1 chronique d’ailleurs lue le mois dernier.
Au moins 1 lien que vous avez adoré le mois dernier (hors chronique littéraire).
Et enfin : ce que vous avez fait de mieux le mois dernier.
Je voulais le débuter en août mais je n’avais pas eu le temps de préparer l’article.
Ce rendez-vous combine deux rendez-vous littéraires : le bilan de lecture du mois que je n’ai jamais fait sur le blog et mapromenade de blog en blog. Vous avez deux en 1 grâce à ce nouveau rendez-vous, n’est-ce pas génial ? 😀
Ce mois, je comptais lire 4 œuvres mais j’ai fini par en lire 7. Mes lectures ont été très romantiques.
Je ne connaissais pas Laura Kasischke mais ça c’était avant que Julie à mi mots vante d’une fort belle manière la qualité de sa plume et son dernier recueil de nouvelles.
Quinze textes, publiés dans différentes revues, qui proposent une autre manière de s’immerger dans l’écriture de Laura Kasischke. Souvent, parce que les fins n’en sont pas réellement. Elles sont laissées là, à la libre interprétation du lecteur. C’est déroutant, intrigant, stimulant.
3- Liens adorés hors chronique littéraire
J’ai découvert une jeune poétesse et l’un de ses poèmes sur mon sujet favori : le célibat.
Je vous laisse découvrir quelques strophes :
Gars mignon que j’apprécie, A finalement une petite amie. Scénario se répétant à l’infini. La malédiction du célibat.
Dans un bus, dans un train, Mon regard il soutient, Mais descend et passe son chemin. La malédiction du célibat.
Nouveau dans un groupe il me plaît. Je ne lui ai quasiment jamais parlé. Il embrassa sa coéquipière sous mon nez. La malédiction du célibat.
C’est un nouveau départ nous discutons, Il est triste son copain a mis fin à sa relation, Du coup il convoite l’autre mignon. La malédiction du célibat.
Je fais régulièrement des tours chez Le Libre Penseur. J’aime beaucoup ses réflexions sur le célibat, les relations amoureuses. Sa dernière réflexion se trouveici
J’avais déjà écrit dans un article que l’amour est tout sauf rationnel. Je le crois encore. C’est pour cette raison que la tête a un rôle à jouer quand le cœur veut à tout prix se jeter dans les bras du premier venu.
La paupiette Culturelle m’a fait découvrir ce qui tourne en boucle dans ses écouteurs. Unesélectionplutôt intéressante.
En 35 photos, THE BROKEN HEELS DIARY montre que le magenta et le fushia subliment toutes les femmes noires. Je vais refaire ma garde-robe, les amis ! 😀
4- Ce que je raconte de beau
La maison d’édition qui va éditerTristesse au Paradisa commencé à travailler surla couverture du roman. J’ai hâte de voir ce que ça va donner.
J’ai eu une nouvelle idée de romance. Je suis hyper excitée. J’ai commencé à écrire quelques idées. J’ai hâte de voir comment l’histoire va évoluer.
J’ai préparé avec soin les goodies de la 4e box littéraire Aïkan. Elle aura pour thème Venu d’ailleurs. Au programme des livres d’auteurs africains à découvrir comme le convoi, les pêcheurs, le tambour des larmes, Lagos Lady, No home, les maquisards.
Je suis aussi associée à un projet humanitaire. Dans quelques semaines, je vous en dirai plus.
Qu’est-ce que vous avez à balancer de votre côté ? Top, Flop, dites-moi tout. 🙂