Après le départ de l’homme qui a ravivé son cœur et avec qui elle a vécu une passion fulgurante, Alexandrine retrouve sa vie. Les interrogatoires se succèdent, la police recherche toujours les braqueurs en fuite et compte sur sa coopération, tandis que sa famille est aux petits soins. Obligée de mentir à tous, elle pourra néanmoins compter sur ses plus proches amis, Clarisse et Franck, pour la soutenir. Parviendra-t-elle à se détacher de cet homme dont elle ignore jusqu’au nom ? Et si l’occasion lui était donnée de le revoir, serait-elle prête à tout quitter une dernière fois ?
Alexandrine essaie de revivre sans son amoureux mais le manque est cruel. Son amoureux l’obsède, les instants passés avec lui sont gravés dans son âme, encore plus dans sa chair.
Le tome 1 ne m’avait pas convaincue, j’espérais que le tome 2 soit meilleur et je suis assez satisfaite. Il n’y a pas d’action, juste de la romance. Dans ce tome, j’ai ressenti l’amour qu’Alexandrine ressentait pour ce jeune homme dont on connaît maintenant le prénom.
Alexandrine n’a pas eu beaucoup de chance. Elle est veuve alors tout le mal qu’on peut lui souhaiter c’est d’être avec son amoureux, celui qui la fait vibrer dans tous les sens du terme. C’est une vraie nymphomane, on ne peut pas l’empêcher de s’épanouir, de vivre sa vie comme elle le sent, l’entend.
Si c’était à refaire, je parcourrais le même chemin, rejouerais la même histoire, prendrais le même bonheur, subirais la même douleur car il a fait de moi, une femme plus vivante que jamais.
Dans ce tome, les braqueurs deviennent des personnes. On découvre d’abord leurs noms puis leurs passés, leur humanité.
Ils deviennent des donateurs, des Robin des bois des temps modernes. Ils font ce que la fondation de la bijouterie braquée n’a pas fait s’il en existe une.
Nos braqueurs s’en tirent plutôt bien et ce n’est pas le lecteur qui va les condamner. Il y a déjà tant de personnes dans la vraie vie qui devraient croupir en prison et n’y sont pas alors…
Ce second tome est une lecture fluide, rapide qui donne de belles couleurs à l’amitié, à l’amour.
ll y a moins de dialogues que dans le premier tome. L’auteure nous sert une prose bien sympathique avec des phrases qui pourraient être des sujets de philosophie :
L’amour est fait de multiples concessions mais pas de sacrifices.
J’espère que sa plume va encore monter en puissance dans ses prochains écrits.
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Une question avant de se quitter : encouragerez-vous les braquages si les butins sont reversés aux pauvres ? 😀